Revue de presse du 17 novembre :
Propositions UDI pour transformer l’A6/A7 en un boulevard urbain d’ici 2022
14/11 : Déclassement A6/A7 : l’UDI propose une ligne de métro bus hybride»
Le groupe UDI de la Métropole a sa solution. Son président, Christophe Geourjon, explique que l’idée est de créer, sur la totalité du parcours, une ligne de métro-bus hybride qui partagerait l’une des deux voies de circulation dans chaque sens avec les taxis, les cars, les automobiles en covoiturage avec au moins trois personnes à bord.
15/11 : Christophe Geourjon (UDI) : “Déclassement de l’A6/A7 : il faut que l’on avance rapidement”
Il faut que l’on avance relativement rapidement pour proposer une solution pour en faire un vrai boulevard urbain. Nous, ce que l’on propose à l’UDI, c’est de dire que sur les deux voies, il y en ait une qui soit réservée pour un métro-bus et le covoiturage alors et que l’autre reste ouverte aux voitures. (…) Ainsi on circulera mieux. Aujourd’hui, c’est 6 à 7 000 personnes qui passent sous Fourvière chaque heure. Avec la solution que l’on propose (…) on peut transporter 10 000 personnes à l’heure »
15/11 : Déclassement de l’autoroute : l’UDI veut accélérer
Les élus UDI avancent leur propositions pour relancer le débat. Ils organisaient à cette fin une conférence de presse ce mardi. Ils reprennent l’idée de la collectivité de voies réservées pour les bus et le covoiturage (3 personnes et plus). Mais vont plus loin : là où le Grand Lyon projettent de les positionner à la place des bandes d’arrêt d’urgence, eux préconisent qu’elles empiètent sur les voies automobiles, n’en laissant qu’une seule dans chaque sens pour la circulation ordinaire.
16/11 : Déclassement A6/A7 : Christophe Geourjon propose des solutions pour sortir des embouteillages actuels
Le président du groupe UDI à la Métropole, Christophe Geourjon est un doux rêveur quelque peu idéaliste. Il croit encore que l’on peut faire une carrière politique en bossant ses dossiers et en imaginant des solutions réalistes aux problèmes de ses concitoyens. […] Qu’importe ! Geourjon a bien bossé et ses propositions on le mérite d’exister et de proposer des solutions à échéance de cinq ans. De leur côté, les perspectives envisagées par Gérard Collomb pour aboutir à la transformation de l’autoroute en un boulevard urbain nous amène beaucoup plus loin dans le temps : entre dix et quinze ans dans le meilleur des cas